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Par une belle soirée dété, un homme regarde par la fenêtre. Il y aperçoit son
voisin à quatre pattes dans la rue. Il semble chercher quelque chose sous le lampadaire.
Il se dit alors : « Je vais laider à retrouver ce quil a perdu ».
Il sapproche de son voisin et lui demande : « Quest-ce que tu as perdu ? »
Lautre répond : « Jai perdu mon portefeuille. Ce qui membête le plus,
ce nest pas davoir perdu largent quil contenait, mais mes cartes
didentité et de crédit »
Notre bon samaritain se mit à chercher lui aussi autour du lampadaire, sur le trottoir,
dans la rue, sur les gazons adjacents. Après de multiples efforts infructueux, il
savise de demander : « Cest bien ici que tu las perdu, ton portefeuille
? »
Naïvement, son compagnon lui dit : « Non, pas ici, mais dans ce champ là-bas ».
Notre homme nen croit pas ses oreilles. Comment son voisin peut-il penser retrouver
son portefeuille sous le lampadaire alors quil la perdu ailleurs ? Intrigué,
il lui demande dexpliquer sa conduite. Lautre répond candidement :
« Pourtant, ; cest tout simple : il fait beaucoup plus clair ici ».
Jean-Michel MARTIN |
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